samedi 17 octobre 2009

Enquête sur la vente des produits de bien-être


On voit de plus en plus de produits bio arriver dans notre vie quotidienne.

J'ai fait un questionnaire sur la vente de produits de bien-être et cosmétiques bio.

Merci de prendre quelques minutes pour y répondre.

lundi 28 septembre 2009

Méditer au quotidien


Il m'arrive parfois d'avoir recours à la méditation pour trouver la paix intérieure. C'est une activité que je pratique pour me débarrasser d'émotions perturbatrices telles que l'anxiété, la peur, l'inquiétude, l'insatisfaction. Voilà comment s'y prendre.

Bannir les pensées négatives vis à vis de soi-même.
Permettre à de bons sentiments de se diriger vers soi.
Ensuite, faire de même pour les personnes qui nous sont le plus proche (parents, amis). Progressivement, étendre le champs depuis son cercle intime jusqu'à diriger ce flot de sentiments vers ses ennemis et tous les êtres vivants.

Au début de toute séance de méditation, se dire les phrases suivantes:

"Que je sois bien portant, heureux et en paix. Qu'il ne m'arrive aucun mal. Que je ne rencontre ni difficultés ni problèmes. Puissé-je toujours connaître le succès.

Que je sois également patient, courageux, compréhensif et déterminé à faire face et à surmonter les difficultés, problèmes et échecs inévitables dans la vie.

Que mes parents soient bien portants, heureux et en paix. Qu'il ne leur arrive aucun mal. Qu'ils ne rencontrent ni difficultés ni problèmes. Puissent-ils toujours connaître le succès.

Qu'ils soient également patients, courageux, compréhensifs et déterminés à faire face et à surmonter les difficultés, problèmes et échecs inévitables dans la vie.

Que mes amis soient bien portants, heureux et en paix ..."

Une fois que ces récitations sont terminées, mettre de côté tous ses soucis et conflits pendant la durée de la pratique.


Ces quelques conseils sont tirés du livre du vénérable Hénépola Gunaratana "Méditer au quotidien".




samedi 19 septembre 2009

Clafoutis de légumes au jambon


Premier coup de coeur, voici une recette express.
Certains préfèreront le faire au four, cela prendra plus de temps.
(Environ 25 minutes de cuisson)

Cela me donne faim en vous parlant de ces recettes.



Pour 4 personnes

INGREDIENTS
  • 150 g de jambon
  • 100 g de fromage de chèvre
  • 3 œufs
  • 6 tomates cerise
  • 1 petite courgette
  • 2 cuillerées à soupe bombées de farine
  • 150 ml de lait concentré non sucré
  • 1 cuillerée à soupe de basilic ciselé
  • Sel et poivre

PREPARATION

Coupez le jambon et le fromage en dés et les tomates cerise en deux. Lavez et râpez la courgette.

Mélangez les œufs, la farine, le lait, le basilic, les tomates, le jambon et la courgette râpée.

Salez et poivrez.

Dans une feuille de papier sulfurisé, coupez 4 cercles de la taille du fond des ramequins.

Versez le mélange dans 4 ramequins et faites cuire dans votre four à micro-ondes 8 minutes à 900 W.


Cake au jambon et olives



J'aime bien les gâteaux. Mais c'est souvent trop sucré et il est conseillé de manger des légumes pour la santé. Alors maman préparait souvent ce gâteau salé.

J'espère que vous goûterez à votre tour.



Pour 4 personnes

INGREDIENTS
  • 200 g de farine
  • 5 oeufs
  • 1/2 paquet de levure
  • 5 cl d'huile
  • 150 g de jambon en tranches épaisses
  • 100 g de gruyère
  • olives vertes dénoyautées
  • 15 cl de lait
  • 2 cuillères à soupe de moutarde
  • Sel et poivre
  • Persil ou herbes hachées

PREPARATION

Battre les oeufs en omelette avec le lait,

Ajouter l'huile et la moutarde

Assaisonner.

Ajouter petit à petit la farine et la levure jusqu'à obtention d'une pâte lisse, puis ajouter le jambon, le gruyère, les olives et le persil ou les herbes hachés.

Mettre dans un moule à cake et cuire dans un four chaud à 170°C pendant 30 minutes.

Bon appétit !

vendredi 18 septembre 2009

Lithothérapie



Du cœur aux pierres, il n’y a qu’un pas. Je vais vous parler de la lithothérapie ou le pouvoir des pierres. Je me suis aidée de différents sites qui en parlent. Tout d’abord, je vais vous révéler quelque chose de personnel. Je suis fille de joaillier et j’ai travaillé sur Genève depuis 12 ans dans les bijoux et montres de luxe. Et la cerise sur le gâteau, j’ai fait une licence es sciences physiques. Je connais bien les propriétés physico-chimiques des matériaux. C’est vous dire que je baigne dans le monde des pierres depuis ma tendre enfance.

C’est récemment que je m’intéresse aux propriétés thérapeutiques des minéraux.


Introduction

La lithothérapie fait partie des médecines douces et naturelles, Cette thérapie utilise les propriétés énergétiques des pierres.

L'énergie particulière de chaque pierre réharmonise notre être, nous apportant, bien-être, amélioration de certaines maladies, guérison de certains troubles.

Les minéraux peuvent avoir une forte influence sur notre état sans toutefois remplacer la médecine moderne. La lithothérapie peut être également vue comme un moyen de développement personnel.

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Depuis la nuit des temps, toutes les civilisations du monde ont toujours utilisé les propriétés thérapeutiques des minéraux.
Les Egyptiens utilisaient entre autres le Lapis-Lazuli qu'ils réduisaient en poudre et qu'ils ingéraient comme traitements médicamenteux.
Les Aztèques idolâtraient les pierres, les façonnaient en bijoux qu'ils portaient en différentes parties du corps en fonction de leurs divers maux.
Les Amérindiens voyaient en chaque pierre un esprit protecteur et de ce fait les respectaient grandement.
En acupuncture, les Chinois, maîtres es sciences médicales, renforçaient la puissance énergétique de leurs aiguilles en les faisant terminer par une bille de pierre choisie selon ses propriétés vibratoires.
La médecine ayurvédique a très vite compris quel merveilleux éventail thérapeutique représentait le monde minéral.
Plus proches, en occident les alchimistes cherchaient la pierre philosophale, et de tout temps, nos religieux se parent de joyaux aux propriétés divines.


Apprenons à redécouvrir leurs vertus...


Aujourd'hui, l'industrie utilise les propriétés vibratoires des minéraux car ils ont une fréquence unique et régulière, tout le monde ou presque possède une montre à quartz...
Aujourd'hui, attirés par leur beauté, nous achetons des pierres montées en bijoux... Mais n'est-ce pas inconsciemment que nous recherchons ce dont on ne peut se passer ? Ne recherchons nous pas ce que nous avons perdu de vue ?
Nos ancêtres, plus proches et plus respectueux de la nature connaissaient les bienfaits des offrandes que la Terre nous a offert...

L'omniprésence de prescriptions et de correspondances retrouvées sous toutes les latitudes semblent attribuer une pratique identique établie sur l'observation de la Nature.
Outre leurs qualités spirituelles et initiatiques, les minéraux, portés sur soi ou ingérés en quantités infinitésimales, intéressent aujourd'hui les chercheurs contemporains.
La connaissance approfondie du monde minéral a permis le développement de la magnétothérapie, qui met en évidence les pouvoirs sédatifs de la pierre d'aimant, la magnétite, et son rôle dans le processus d'autoguérison.
De manière similaire, le cuivre possède des vertus thérapeutiques connues.
Il semblerait que l'impact énergétique des pierres sur notre organisme et notre psychisme résulte d'une analogie structurelle.
Chaque jour nous ingérons des éléments minéraux essentiels à notre équilibre.
Une pierre au creux de votre paume, ou portée en bijou , enclenche un processus de résonance vibratoire, lequel stimulera les minéraux organiques, palliant à d'éventuels dysfonctionnements.

Chaque pierre possède une vibration qui lui est propre et nous pénètre de son énergie en activant nos portes énergétiques, nos chacras

En fonction de sa structure cristalline, de sa composition, de sa couleur, elle dispose de vertus spécifiques susceptibles d'aider une partie de notre organisme à se réguler et à retrouver son équilibre fonctionnel.

Les Chakras

Chakras veut dire « Roue » en sanscrit, langue sacrée de l’Inde

Les sept chakras principaux, ou centres d'énergie, sont des points précis du corps par lesquels les échanges énergétiques ont lieu.
Ils se situent le long de la colonne vertébrale, du coccyx au sommet du crane.
Chaque chakra a un emplacement précis. Son rôle est de recevoir et d'émettre une énergie vibratoire rythmée qui agit sur les organes.

Les chakras appartiennent au corps éthérique et concernent le corps physique.
Ils sont en forme d'entonnoir et leur rayonnement est d'environ dix centimètres de diamètre.
Chacun d'entre eux est lié à une couleur dominante qui correspond à leur fréquence vibratoire.

L'énergie véhiculée en nous par les chakras doit être régulière, ni trop, ni pas assez.
Malheureusement, nos pensées influent sur l'ouverture de ces centres d'énergie.
Le stress, les préjugés, la peur de l'inconnu nous créent des blocages, modifient et dérèglent le flux de cette énergie.
Si l'un de ces points est fermé, c'est le désordre en nous. Nos organes, mal alimentés, perdent de leur efficacité et nous apportent troubles physiques et émotionnels.

En travaillant sur les chakras, nous allons réveiller une circulation d'énergie qui aura une action bénéfique sur le plan physique et spirituel.
Un cristal, possédant une vibration propre, va permettre au chakra concerné de se réguler et de se caler sur la bonne fréquence puis, lentement, se rouvrir pour véhiculer correctement l'énergie et offrir à notre corps cette nourriture essentielle...


Les soins


Une pierre émet une vibration continue selon une fréquence particulière.
Malheureusement, cette fréquence peut être affaiblie, déréglée et la pierre peut ne plus apporter ce que l'on attend d'elle, ou pire nous apporter du négatif...
Une purification est toujours nécessaire lors d'un premier contact, puis, après une utilisation il nous faut la recharger pour qu'elle puisse à nouveau partager sa pleine puissance
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La Purification et le rechargement


En transmettant sa force la pierre perd de sa puissance.
De même, elle peut se charger de vibrations négatives selon son vécu, ses programmations passées.
Il est indispensable de purifier, c'est à dire de décharger et recharger d'énergie positive, chaque nouvelle pierre.


Lorsque l'on achète une pierre, ou que l'on nous l'offre, elle doit être purifiée afin de la décharger de toutes les influences qu'elle a subies depuis son extraction du sol jusqu'à ce qu'elle arrive entre vos mains.
Une purification est toujours suivie d'un rechargement.

La purification du sel
C'est une purification efficace et facilement réalisable.
Dans un récipient non métallique, en cristal ou en verre serait idéal, plongez la pierre dans une solution de sel dissout dans de l'eau distillée.
Recouvrez d'un voile et laissez quelques heures. Puis la rincer à l'eau claire, l'essuyer avec un chiffon doux et la placer à la lumière solaire.
Une solution ne sert qu'une fois. Ne vous resservez pas de cette eau !!!


La purification par enfouissement
Enterrer la pierre complètement dans un endroit sain, en pleine terre.
En quelques jours, elle sera de nouveau utilisable. En effet, le magnétisme de la terre va lentement inonder le cristal, le nettoyer et le recharger d'énergie positive.


La purification par fumigation
Purification légère, on l'utilise pour les cristaux peu sollicités.
Passez la pierre dans les volutes de fumées dégagés par l'encens. On peut utiliser les vapeurs des huiles essentielles.

La purification par l'eau de source
Lors d'une promenade dans la nature, n'hésitez pas à plonger vos pierres sous l'eau d'une source. Quelques minutes suffisent pour que vous sentez la purification s'effectuer.

Vos pierres, vivifiées, vous énergiseront rapidement et vous ressentirez un bien-être naturel.

Le rechargement par la lumière
Le plus souvent possible, baignez vos cristaux de lumière solaire et, ou, lunaire.
Certaines pierres préfèrent le soleil, d'autres la lune, d'autres les flammes. Référez vous au chapitre "Purification" de chaque pierre pour plus de détails.

Le rechargement sur amas cristallin
Posez votre pierre sur un amas de quartz, sur une géode d'améthyste en plein soleil durant une journée.

Le rechargement par votre propre énergie
Tenez le cristal aux creux de vos mains et imaginez votre énergie intérieure qui, lentement, se concentre le long de vos bras, de vos mains et pénètre, tel un faisceaux lumineux, au plus profond de la pierre.
Respirez lentement et continuez la visualisation jusqu'au moment où vous voyez que l'énergie envoyée ne peut plus pénétrer.
Posez le cristal et, lentement, dissipez l'énergie de vos mains dans tout votre corps...
Reposez vous, prenez le temps de récupérer...
Cette technique, bien que demandant un peu d'expérience, n'a aucune contre-indication et convient pour toutes les pierres.


Les élixirs

Les élixirs à base de gemmes contiennent les vibrations de l'essence même de la pierre.
Ils agissent plus particulièrement sur le corps éthérique et, grâce au système des chakras, transmettent leur pure force vitale et la dirigent vers les zones du corps physique.
Le système énergétique humain retrouve alors l'équilibre et se restructure grâce aux vibrations cristallines répétitives qui induisent un processus d'harmonisation.
Il est donc facile de comprendre l'importance de l'influence des couleurs sur nos plans de conscience puisque la santé découle de ces énergies "arc-en-ciel" qui, lorsqu'elles dansent harmonieusement entre-elles, nous procurent un mieux-être global
L'utilisation des cristaux pour préparer des "eaux de gemme" ou élixirs de cristaux est un moyen de s'imbiber d'énergies subtiles par l'absorption de leur "quintessence" vibratoire avec en plus tous les bénéfices des traces d'oligo-éléments, de métaux et de minéraux.

L'eau de gemme
L'eau de gemme est le résultat de cette préparation, sans adjonction d'alcool. Elle se garde 3 jours environ, dans l'obscurité ou au réfrigérateur pour lui conserver ses propriétés curatives.
La pierre aura été retirée. Le liquide, chargé de sa structure cristalline, est versé dans une bouteille de verre ou dans un bocal recouvert d'une gaze. Evitez à tout prix le plastique et le métal.
Une préparation plus rapide consiste à placer la pierre choisie le soir avant d'aller au lit dans un verre rempli d'eau de source non gazeuse et de boire au matin, à jeun, cette "tisane" chargée de la vibration de la pierre utilisée.

L'essence-mère
Ajoutez à l'eau de gemme de l'alcool de grain ou du cognac biologique dans une proportion moitié-moitié.
Grâce à l'alcool, l'essence mère se conserve longtemps dans une bouteille de verre avec fermeture en verre ou en porcelaine, entreposée au frais, dans l'obscurité, loin des prises électriques et des appareils toujours branchés.
L'essence mère sert à préparer les élixirs en première dilution.

La bouteille-stock
Déposez 5 à 7 gouttes d'essence mère dans un flacon à pipette stérilisé rempli d'une même quantité d'alcool de grain que d'eau distillée.
La bouteille-stock servira aussi à la préparation de vos élixirs, mais en deuxième dilution.

L'élixir
Prenez un flacon à pipette de verre brun ou bleu et stérilisez-le 15 à 20 minutes dans de l'eau portée à ébullition.
Remplissez le flacon à 1/3 d'alcool de grain, puis ajoutez 1/3 d'eau de source non gazeuse et 2 à 5 gouttes de la bouteille d'essence mère ou 2 à 7 gouttes de votre bouteille-stock.
Agitez le flacon pour le dynamiser et étiquetez-le.

Posologie
En général, l'eau de gemme se prend 3 fois par jour. Déposez 3 à 5 gouttes sous la langue si possible avant les repas.
Il est aussi possible de diluer l'eau de gemme dans un verre d'eau de source non gazeuse et de le boire par petites gorgées à intervalles réguliers.
Avant chaque prise, secouez 10 fois le flacon afin de le dynamiser.
Ne pas prendre plus de 3 à 5 élixirs à la fois.

Diverses utilisations
- Par voie orale : absorption directe comme indiqué dans la section mode d'emploi.
- Dans l'eau du bain : 7 gouttes de la bouteille-stock à ajouter dans l'eau du bain.
- En spray : 3 à 5 gouttes de la bouteille-stock que vous mettez dans un vaporisateur avec de l'eau de source afin de projeter l'élixir sur vous-même par harmoniser vos corps subtils.
- En huile de massage : 5 à 7 gouttes de l'élixir ajoutées à de l'huile de jojoba, d'amandes, d'olives ou autre.
- En application directe : sur les chakras ou sur les poignets, 2 à 3 gouttes de l'élixir suffisent.
- En compresses : 5 à 7 gouttes de l'élixir dans l'eau des compresses.
- Dans l'eau de rinçage du linge fin : 5 à 7 gouttes de l'élixir de cristal de roche imprègnent le linge de sa vibration harmonisante.
- Dans une pièce : quelques gouttes de l'élixir sur l'ampoule électrique harmonisent l'atmosphère.
- Utilisation pour les plantes : on peut ajouter quelques gouttes d'élixir à l'eau d'arrosage. Le cristal de roche convient particulièrement car il apporte une énergie revitalisante et lumineuse.
- Utilisation pour les animaux : il est possible d'ajouter 2 à 3 gouttes de l'élixir dans leur boisson.


source : www.pouvoirdespierres.com


J'ai aussi trouvé un site intéressant en surfant sur internet parlant de lithothérapie.

http://bienetreparlespierre.blog4ever.com/blog/index-342085.html ( nom du blog : LE BIEN ÊTRE PAR LES PIERRES ET LES MINERAUX )


vendredi 11 septembre 2009

Huiles de massage



Youpi, c'est bientôt le week-end!

Je vais vous parler d'huile de massage et de relaxation. Le week-end approchant, la plupart d'entre nous, allons nous adonner à nos loisirs: sport et détente. J'imagine qu'après ces deux jours, nous serons épuisés mais heureux d'avoir fait ce qui nous plaisait.

Récemment, on m' a parlé de l'huile du Tigre comme huile de massage. On en dit du bien. Je connais bien le baume du Tigre, en vente libre en pharmacie et je me suis posée la question: Qu'est ce que l'huile du tigre? Voici la réponse que j'ai trouvée sur internet.

"L’huile du tigre (Tiger liniment) se différencie du baume du tigre dans sa forme d’administration et uniquement dans sa concentration plus forte de méthylsalicylate. L’huile du tigre sert à la thérapie locale de toutes les douleurs musculaires et articulaires possibles. L’huile est destinée à une application purement externe et s’applique que sur les endroits endoloris.

Conditionnement en flacon de 28 ml."

Source texte : www.baume-du-tigre.fr


Composition
  • Salicylate de méthyle : 38 %
  • Menthol : 8 %
  • Huile d'eucalyptus : 6 %
  • Camphre : 15 %
  • Huile de lavande : 5 %
Le reste du produit est composé d'une base de paraffine liquide.


Je suis curieuse de tester et de vous donner ma propre opinion. J'écrirai bientôt un avis sur ce produit...


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Il existe aussi l'huile de massage à l'arnica pour prévenir les courbatures et elle permet au corps de récuperer plus rapidement après le sport.

Cette huile relaxe, estompe les douleurs et assouplit la peau et tout cela grâce à des ingrédients biologiques qui sont donc sans risque pour la santé.

Cette huile de massage est conseillée avant une activité sportive pour éviter les problèmes de contractions musculaires ou en massage plus longs après une activité sportive (en ce qui me concerne, je l'ai acheté pour les randonnées pédestres). Elle est parfaite pour sedétendre tout simplement.

En effet, l’arnica est très utilisée en homéopathie pour soigner notamment les hématomes ou les bleus provoqués par les coups, apaiser les douleurs musculaires suite à des efforts prolongés, etc.…Donc cette huile est très recommandée aux sportifs. Pas besoin d'être un grand sportif pour s'en servir. Je l'utilise aussi dans l'eau du bain pour me relaxer.

WELEDA est une marque connu de produits de soins basés sur les ingrédients naturels tels que les plantes et les huiles essentielles. Le produit à base d’huile d’olive contient des extraits d’arnica (1,4 %) , qui font de lui une excellente huile de soin. On trouve également de l'huile de lavande qui procure la détente.

Amatrice d’aromathérapie, j'aime bien son odeur de lavande. Et surtout son bon rapport qualité prix.

Bon week-end !


mercredi 9 septembre 2009

La malbouffe


Voilà, pour ouvrir mon blog sur vivre mieux, je commence avec un article alarmant sur la malbouffe. Au pays de la gastronomie et des bons vins, je trouve dommage que la plupart des Français se nourrissent mal.


Extrait d'un article publié le 19/03/2009 N°1905 - Le Point

La liste noire de la malbouffe

Alerte. Dans son livre, Laurent Chevallier explique comment survivre au désastre nutritionnel annoncé.

Christophe Labbé et Olivia Recasens

Chaque année en France, la malbouffe provoque trois fois plus de morts que le tabac et cinquante fois plus que les accidents de la route. Elle est en partie responsable de 30 % de nos cancers, de nos 500 000 insuffisants cardiaques, de 2 millions de diabétiques et de 8 millions d'obèses. Effarant. En un demi-siècle, le contenu de notre assiette s'est radicalement transformé. Aujourd'hui, 80 % des aliments que nous avalons sont industriels. Souvent trop gras, trop sucrés, trop salés et bourrés de chimie.

Un constat dénoncé dans le livre du docteur Laurent Chevallier « Plus personne ne peut nier le lien entre les dérives d'une certaine forme d'alimentation industrielle et l'augmentation significative de certains cancers et maladies cardiovasculaires, explique ce consultant en nutrition attaché au CHU de Montpellier. Je tire la sonnette d'alarme parce que, lors de mes consultations, je suis confronté tous les jours aux victimes de la malbouffe. »


Comment en est-on arrivé là ? Pour produire en quantité, le plus vite possible, au plus bas coût, les ingénieurs agronomes ont créé des variétés de légumes, de fruits et de céréales qui poussent plus vite, « boostées » à coups d'engrais et de pesticides dont on retrouve les résidus sous notre fourchette. De la même façon, on a sélectionné des races d'animaux à gros rendements. Des « usines sur pattes » qui fonctionnent avec des granulés hautement énergétiques. Un super-carburant qui a altéré la composition de la viande, du lait ou des oeufs.
Une matière première bas de gamme, qui est ensuite transformée au point de perdre une partie de ses nutriments, vitamines et arômes.

Au milieu des années 80 la chimie s'est invitée en cuisine. Pour ressusciter le goût perdu dans le processus industriel, on a réinjecté en bout de chaîne des arômes artificiels, mais aussi des conservateurs pour allonger la durée de vie des produits, des colorants pour les rendre plus tape-à-l'oeil, des correcteurs d'acidité, sans oublier les émulsifiants, antiagglomérants, gélifiants et autres agents d'enrobage...

Aujourd'hui, l'industrie agroalimentaire dispose de 357 additifs autorisés qui remplissent 24 fonctions différentes. « Un cocktail chimique dont on évalue mal tous les effets sur notre organisme », avertit Laurent Chevallier. Ajoutez-y des emballages en plastique dont certains composants ont une fâcheuse tendance à migrer vers les aliments...
« Notre nourriture n'est plus adaptée à nos gènes. Non seulement on y a ajouté des substances chimiques mais on l'a bourrée de mauvais gras pas cher à produire, hypercalorique comme l'huile de palme. Et surtout de sucre et de sel. » Trois ingrédients que l'on trouvait rarement au menu de l'omnivore tendance frugivore qu'était l'homme préhistorique et vers lesquels nous sommes naturellement attirés. Des appâts gustatifs désormais utilisés à tout-va par l'industrie agroalimentaire. Nous consommons ainsi chaque jour 8,5 grammes de sel, quatre fois plus que nos besoins physiologiques. Quant au sucre-une « calorie vide » dans le jargon des nutritionnistes, c'est-à-dire qui ne contient rien d'autre que de l'énergie-, nous en avalons 35 kilos par an. 75 % de ce sucre étant directement incorporé dans les aliments par les industriels. Avec certains produits, l'addition grimpe vite : un pain au chocolat représente l'équivalent de sept morceaux de sucre, un soda six. « C'est d'autant plus grave, dans le cas du soda, que notre cerveau ne comptabilise pas les calories sous une forme liquide. » Ce qui explique pourquoi, après avoir vidé une canette, on ne ressent pas la sensation de satiété. Notre cerveau se fait aussi berner par certains aliments industriels quasi prémâchés. « Le meilleur exemple, c'est la portion de céréales du petit déjeuner qui se transforme, avec le lait, en une bouillie vite gobée, plus ou moins grasse, salée et sucrée, indique le nutritionniste. C'est la mastication qui permet d'envoyer le signal de satiété au cerveau. Et le fait de mâcher imprègne de salive les aliments, ce qui facilite la digestion et dope l'immunité. »


Un désastre nutritionnel longtemps masqué par les progrès réalisés sur le plan de l'hygiène. En aseptisant notre alimentation, les industriels ont fait chuter le nombre de morts par intoxications alimentaires, et l'invention du réfrigérateur ajouté à l'usage des antibiotiques a fortement diminué l'incidence des cancers de l'estomac provoqués par des bactéries. Mais, dans le même temps, les maladies cardiovasculaires, le diabète, l'obésité ont explosé. Pour la première fois, malgré les progrès continuels de la médecine, l'espérance de vie d'un Américain naissant aujourd'hui ne dépassera pas celle de ses parents. Elle sera même plus faible dans les classes défavorisées.


Si l'on commence à se préoccuper de qualité nutritionnelle, le risque que fait peser la présence de molécules chimiques dans nos aliments n'est pas suffisamment pris en compte. Ce que dénonce Laurent Chevallier. « N'ayons plus la naïveté de croire que si des ingrédients étaient nocifs on ne les trouverait pas dans les magasins. Régulièrement, des produits que nous avons consommés pendant des années sont retirés du marché. » La preuve, selon lui, que l'on nous met sur la table des aliments mal évalués. « On a mis trente ans à s'apercevoir que le E128, un colorant pour saucisses industrielles, attaquait les cellules du côlon chez le rat et la souris. » On a pourtant multiplié les instances de contrôle. « Pour évaluer la dangerosité d'une substance chimique, les agences se contentent la plupart du temps des études fournies par les industriels à partir de cahiers des charges inadaptés. Sans compter qu'un certain nombre de leurs experts travaillent avec ces mêmes industriels. » Bref, les mailles du filet seraient trop lâches. « Je suis sidéré que l'on n'avertisse pas les femmes enceintes des risques liés aux substances chimiques de notre alimentation. » Le cas du BHA fait bondir le nutritionniste. Cet additif, présent dans certains chewing-gums, est considéré comme cancérogène. Mais, au lieu de l'interdire, on a demandé aux industriels d'en diminuer la teneur, sans même les obliger à en indiquer la concentration sur l'étiquette.


« Nous ne devons pas attendre que les pouvoirs publics durcissent la réglementation, au risque de revivre ce que l'on a connu avec l'amiante ou le plomb. C'est au consommateur d'agir, dès maintenant . » Dans son livre, le docteur Chevallier donne les clés pour faire le ménage dans nos assiettes. Il dresse ainsi la liste de 100 produits « modèles », à acheter sans risque. Et surtout, il désigne une dizaine de « marqueurs de malbouffe ». Des ingrédients faciles à repérer sur l'étiquette, qui doivent faire office d'épouvantails. A vos courses !


Le guide pour faire ses courses

Comment se sortir de la malbouffe sans se ruiner ? Fort de neuf livres consacrés à la santé dans notre assiette, le docteur Laurent Chevallier, nutritionniste au CHU de Montpellier, remet le couvert avec « Les 100 meilleurs aliments pour votre santé et la planète », publié chez Fayard. Après avoir passé à la loupe et analysé les linéaires de nos supermarchés, il a sélectionné les produits les moins riches en sucre, en gras, en sel et additifs chimiques. Avec en prime la liste noire des ingrédients à repérer sur l'étiquette.

« Les 100 meilleurs aliments pour votre santé et la planète » (Fayard, 336 pages).

Trop de chimie

357 : c'est le nombre d'additifs chimiques autorisés dans notre assiette.

Trop de sucre

35 kilos de sucre : c'est ce que nous avalons chaque année, sous forme solide ou liquide.

Trop de sel

On consomme en moyenne 4 kilos de sel par an, deux fois la dose limite fixée par l'OMS.

Trop de gras

Plus de 37 % de nos apports énergétiques sont constitués de matières grasses, souvent bas de gamme.

Les marqueurs de malbouffe

Le butylhydroxyanisole (E 320 et E 321)
On les appelle les antioxydants. Leur rôle est de retarder le pourrissement des aliments. Deux d'entre eux sont sur la sellette. Le butylhydroxyanisole, ou BHA, dénommé E 320 sur les étiquettes, est classé « cancérogène possible » par le Centre international de recherche sur le cancer. Son cousin, le butylhydroxytoluène (BHT), ou E 321, a été jugé « inclassable ». Ce qui n'empêche pas d'en trouver dans des plats industriels et de nombreux chewing-gums.
Les parabens (E 214 à E 219)
On peut en consommer dans les pâtés en gelée, les charcuteries industrielles, les pâtes à tarte, les biscuits apéritifs et les confiseries. Pourtant, ces conservateurs sont suspectés d'être cancérogènes. Ils seraient également des perturbateurs endocriniens. En clair, ils détraqueraient notre système hormonal, au point que l'Australie en a déjà interdit certains.
Les arômes artificiels
C'est la baguette chimique de l'agroalimentaire. Grâce à eux, on injecte par exemple le goût du boeuf ou du poireau dans un plat cuisiné. Une glace à l'« arôme naturel vanille » ne signifie pas que son arôme provient des gousses de la vanille, mais qu'il a été obtenu industriellement à partir d'un processus biologique comme le développement d'un champignon (pour l'arôme noix de coco), d'une bactérie ou de copeaux de bois (arôme fraise). Si la même glace affiche « arôme vanille », il s'agit le plus souvent de molécules odorantes de synthèse, concoctées de A à Z en laboratoire. Longtemps jugés inoffensifs, ils sont soupçonnés aujourd'hui d'agir sur notre cerveau comme un leurre qui perturberait le sentiment de satiété et nous pousserait à manger plus.
L'acide benzoïque (E 210 à E 213)
Ce conservateur de synthèse favoriserait chez certaines personnes les allergies, les crises d'asthme et l'urticaire. Il continue pourtant d'être utilisé dans une kyrielle d'aliments, comme les sodas, les limonades, les soupes et les bouillons industriels.
Les colorants (tous les E 1...)
La tribu des colorants aligne plusieurs dizaines de membres. Sauf qu'on soupçonne fortement certains d'entre eux de jouer un rôle dans les allergies alimentaires, voire d'être cancérogènes. Depuis peu, ils sont aussi montrés du doigt dans le syndrome d'hyperactivité des enfants. C'est entre autres pour cette raison que sont interdits aux Etats-Unis le E 110, qui donne sa jolie couleur orangée au flan, le E 104, qui rehausse le jaune des bonbons et des gâteaux, ou encore le E 124, que l'on trouve notamment dans les pâtisseries aux fruits rouges.
Le ferrocyanure (E 535)
Ce dérivé du cyanure est notamment utilisé dans les sels fins de table pour éviter que les grains ne collent. Employé à très faibles doses, cet antiagglomérant n'est pas toxique, mais il peut provoquer des allergies.
L'huile de palme
L'agroalimentaire en raffole parce qu'elle a un goût neutre et qu'elle n'est pas chère. On en trouve dans les tablettes de chocolat, les sauces préparées, les pains industriels, les biscottes, les cornets de glace, les mayonnaises, les biscuits apéritifs et même dans certains produits « bio ». L'huile de palme contient des acides gras saturés qui font grimper le taux de cholestérol dans le sang. Sa présence se devine aussi sur l'étiquette derrière l'intitulé « acides gras saturés », « matière grasse végétale » ou « MGV ».
Les huiles hydrogénées
C'est le must de la malbouffe : de l'huile de palme ou de maïs solidifiée par injection d'hydrogène pour rendre plus croustillants les biscuits, les frites industrielles, les cornets de glace, les barres de céréales ou encore la pâte à pizza. On en avale en moyenne 2,7 grammes par jour, alors que la consommation quotidienne d'un seul gramme peut faire grimper de 20 % le risque de maladies cardiovasculaires en raison de la quantité de mauvais gras qu'elles contiennent et qui s'attaquent aux artères. Les huiles dites « partiellement hydrogénées » favoriseraient aussi l'apparition des cancers du sein et de la prostate. D'ailleurs, au Danemark, l'industrie alimentaire n'a plus le droit de les utiliser. A bannir de votre charriot.
Les sulfites (E 220 à 228)
Ajoutés dans le vin, notamment les blancs et les rosés, comme conservateurs chimiques, les sulfites provoquent des réactions allergiques et des maux de tête. On en trouve aussi dans certaines moutardes, crevettes congelées...
Les édulcorants (E 950, E 951, E 955)
De nombreux produits estampillés « sans sucre ajouté » contiennent l'un de ces trois édulcorants. Pourtant, on a de plus en plus de doutes sur leur innocuité, en particulier pour la femme enceinte. Selon une récente étude menée sur le rat, l'aspartame (E 951) pourrait ainsi être cancérogène pour le foetus. Les autorités sanitaires, qui se contentent pour l'essentiel des données fournies par les fabricants, se sont jusqu'à ce jour bornées à fixer les doses journalières à ne pas dépasser. Un seuil qui pourrait être atteint par certains enfants ou adolescents gros consommateurs de sodas et d'autres produits light. Fait aggravant : l'agroalimentaire mélange fréquemment les édulcorants, alors que l'on ne connaît rien quant à la toxicité de ce type de cocktails.
Les nitrites (E 249 et E 250)
Ils permettent au jambon de garder sa belle couleur rose. Les sels de nitrites sont des conservateurs que l'on retrouve dans presque toutes les salaisons et les conserves où ils servent à neutraliser les toxines. Le problème est qu'une fois dans l'organisme les nitrites peuvent se transformer en nitrosamines, des molécules qui se révèlent cancérogènes en fonction des doses ingérées.

Comment manger sain et moins cher

Passez-vous des sodas, thés glacés et boissons aromatisées, bourrés de sucre et d'additifs.
Mangez moins de viande : 100 grammes 3 ou 4 fois par semaine au maximum.
Délaissez les eaux en bouteille. Sauf prescription médicale et à moins d'habiter dans une zone polluée aux nitrates ou un vieil immeuble dont les canalisations sont en plomb.
Ne faites pas vos courses le ventre vide. Grâce à un phénomène appelé « alliesthésie », le fait d'être rassasié anesthésie l'attirance pour les aliments. De quoi éviter les achats compulsifs.
Zappez les produits « enrichis » en vitamines, stérols végétaux... Ils sont chers et leurs effets sur la santé non prouvés.
Devenez locavore. En favorisant les circuits de distribution courts, du type Amap (Association pour le maintien d'une agriculture paysanne), vous ferez des économies.
Préparez vos menus pour la semaine. Vous allez équilibrer vos repas, gagner du temps en faisant vos courses et faire des économies.
Evitez les fruits et légumes hors saison facturés à prix d'or et qui sont anti-écolo parce qu'ils viennent de loin.
Bannissez de votre assiette le prêt-à-manger. Comme les céréales industrielles ou les plats cuisinés souvent nutritionnellement médiocres et hypercaloriques.
Accommodez les restes, façon pain perdu, hachis Parmentier ou riz cantonais. C'est 30 % d'économie sur votre budget alimentation.
Fuyez le « light ». Sans intérêt pour la ligne, pas terrible pour la santé et cher